PRESIDENTIELLE 2019 CHEIKH MAGUETTE MBENGUE SE LANCE DANS LA COURSE

Cheikh Maguette Mbengue Président du mouvement “Degg Gui-Xilafa Gui : déclare sa candidature et propose un programme pour le développement du pays.
M. Cheikh Maguette Mbengue a convoqué la presse , ce week-end, au Colobane pour faire sa déclaration à la candidature présidentielle du 24 février 2019 devant ses militants et sympathisants de son quartier. A son programme convaincant, M. Mbengue promet aux Sénégalais une politique qui pourrait contribuer au développement du pays.
Selon monsieur Mbengue : “Depuis l’accession de notre pays à la souveraineté nationale, beaucoup de problèmes et d’ambiguïtés colorent ce système politico politicienne qui nous emprisonne, qui nous tenaille depuis 58 ans à aujourd’hui et qui nous a déshydraté au sens figuré du terme si je peux dire.
Ainsi ce système a été crée sur une minorité de richesse, déterminé par le majorité des Sénégalais qui s’appauvrissent de jour en jour et abandonnées à leur propre sort.
Par contre, il suffit juste de s’intéresser à la chose publique ce qui incombe dans chacun de nous a-t-il expliqué Cheikh Maguette Mbengue, ainsi, demande aux Sénégalais de rejoindre ce parti (degg Gui Xilafa gui) qui un tremplin afin de faire valoir notre droit.
Promouvoir un réel patriotisme “le Sénégal aux Sénégalais le Sénégal au-devant de tout projet , comme la mise en avant d’une promotion économique assurant aux Sénégalais leurs subsistances quotidiennes avec l’aide a l’accès au crédit facile encadré dans le cadre d’un bureau d’assistance et de suivi comptable (Basc) incubateur de projets, solution de lutte contre la pauvreté, la réduction du coût de l’électricité et de l’eau au juste coût de l’entretien, la maintenance et au moindre coût d’investissement, l’accès à l’électricité et la réduction des soins de santé et la promotion des activités sportives, la valorisation des traditions, des cultures et du tourisme au Sénégal pour en tirer le meilleur profit et la revalorisation de l’unité africaine pour que l’Afrique puisse sortir de cette dépendance manifeste.
Pour conclure au terme de da candi