PRESIDENTIELLE 2019 :Idrissa Seck pactise avec la Plateforme des femmes pour la consolidation de la paix

par ibrahima dia
Le leader de la Coalition IDY2019 a rencontré la Plateforme des femmes pour la consolidation de la paix en Casamance. Cette rencontre s’est tenue à Ziguinchor dans le cadre de l’audition des différents candidats pour leur vision sur la paix en Casamance. Idrissa Seck, d’abord estime que la paix en Casamance reste une des priorités une fois qu’il sera président du Sénégal.
Selon lui, la mission première d’un État est d’éradiquer tout ce qui amène des conflits et faire de telle sorte que la paix puisse régner dans le pays. Aussi, le statut de la femme, selon Idrissa Seck doit impacter sur la facilitation du processus de paix.
Le leader du parti Rewmi adhère d’ores et déjà à la plateforme de ces femmes, mais aussi il va prendre cela comme une priorité dans son programme.
Idrissa Seck, d’ajouter que “Démographiquement, la femme a un impact sur les différentes décisions qui doivent être prises pour le développement de notre société”. Donc, rassure-t-il, il s’engage entièrement à apporter son soutien pour la paix définitive en Casamance. “Nous vivons des moments importants de la vie de notre Nation avec l’élection présidentielle qui va nous permettre de choisir celui qui va présider aux destinées de notre Nation. En janvier 2012, nous avions soumis cet exercice aux candidats ce qui a peut-être permis l’accalmie”, s’est réjouie pour sa part Ndeye Marie Thiam Diedhiou, la Présidente de la plateforme. Cette rencontre a vu la présence de Amsatou Sow Sidibé qui a aussi, de son côté, appelé toutes les femmes à se retrouver autour de l’essentiel et de soutenir le projet du candidat Idrissa Seck pour le développement du pays et pour que la paix soit restaurée.
À l’étape de Bignona, Idrissa Seck s’est rendu à Bignina dans le cadre du déroulement de son programme de redressement du pays. Le leader de la coalition IDY2019 a rappelé à la population de Bignona le degré qu’ont atteint la dèche et la pauvreté et qui obligent même les sénégalais à le coller au nom du président sortant.